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Sun ONE Web Server 6.1 Administrator's Guide

Onglet Préférences


L'onglet Préférences permet de définir des préférences de serveur, de contrôler l'accès aux fichiers de votre site Web et d'activer le protocole SSL (Secure Sockets Layer) pour assurer la confidentialité lors des échanges avec d'autres produits pour lesquels SSL est activé. Il contient les pages suivantes :


Page Serveur actif/inactif

La page Serveur actif/inactif indique l'état actuel du serveur et permet de démarrer ou d'arrêter le serveur.

Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Starting and Stopping the Server.

Les éléments suivants sont affichés :

Serveur actif : démarre le serveur de sorte que tous les ports d'écoute attendent les connexions client.

Serveur inactif : arrête le serveur et interrompt tous les processus en cours. Une fois que vous avez arrêté le serveur, il peut se passer quelques secondes avant que le serveur termine son processus d'arrêt et que son état devienne Inactif.

À propos de ce serveur : affiche les informations de logiciel tiers et de version du serveur dans la page Informations de version.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Réglage des performances

La page Réglage des performances permet de configurer le serveur de manière à optimiser ses performances.

Pour plus d'informations sur l'utilisation de la sortie de ce système pour régler votre serveur, reportez-vous au manuel en ligne Performance Tuning and Sizing Guidede Sun ONE Web Server 6.1.

Les éléments suivants sont affichés :

Nombre maximal de requêtes simultanées : spécifie une limite supérieure pour le nombre de requêtes simultanées acceptées par le serveur. Lorsqu'une nouvelle requête arrive, le serveur vérifie s'il est déjà en train de gérer le nombre maximal de requêtes. S'il a atteint la limite, il reporte le traitement des nouvelles requêtes jusqu'à ce que le nombre de requêtes actives retombe sous la limite maximale. La valeur par défaut est de 128.

DNS activé : permet d'activer le serveur pour effectuer une recherche inverse de l'IP d'un client dans la base de données DNS avant d'exécuter un script CGI. Les servlets dépendent également de cette balise pour effectuer une recherche inverse. Les recherches DNS peuvent ralentir les performances, notamment sur un serveur qui utilise abondamment les requêtes CGI. Par défaut, les recherches DNS ne sont pas autorisées. En revanche, les hôtes sont identifiés par leur adresse IP dans l'environnement CGI et dans les fichiers journaux.

DNS async. activé : spécifie si les DNS asynchrones sont activés. Les DNS sérialisent les threads multiples lorsque vous utilisez des services DNS. Si vous ne souhaitez pas de sérialisation, activez les DNS asynchrones. Vous pouvez les activer uniquement si vous avez également activé les DNS. L'activation des DNS asynchrones peut améliorer les performances du système si vous utilisez les DNS.

Mémoire cache DNS activée : détermine si les entrées DNS doivent être mises en mémoire cache. Si vous activez la mémoire cache DNS, le serveur peut stocker les informations de nom d'hôte après les avoir reçues. Si le serveur a besoin d'informations sur le client à l'avenir, les informations se trouvent dans la mémoire cache et sont disponibles sans requête additionnelle. La mise en mémoire cache des entrées DNS peut ralentir le serveur.

Taille de la mémoire cache DNS : spécifie la taille de la mémoire cache DNS si vous avez activé les DNS. La mémoire cache DNS peut contenir entre 32 et 32 768 entrées ; la valeur par défaut est de 512 entrées.

Expiration des entrées (sec) : spécifie le nombre de secondes allouées avant qu'une entrée DNS ne soit supprimée de la mémoire cache si vous avez activé les DNS. Le délai d'expiration d'une entrée en mémoire cache peut aller de 1 seconde à 1 an (spécifié en secondes) ; la valeur par défaut est de 1 200 secondes (20 minutes).

Taille de la file d'attente d'écoute : détermine la taille du paramètre de niveau de socket qui spécifie le nombre de connexions entrantes que le système accepte pour ce socket. Si vous gérez un site Web très visité, assurez-vous que la taille de la file d'attente d'écoute de votre système est suffisamment importante pour faire face au paramètre de taille de file d'attente d'écoute de Sun ONE Web Server. Paramétrer une taille de file d'attente d'écoute trop importante peut réduire les performances du serveur. La taille de la file d'attente d'écoute a été prévue pour éviter que le serveur ne se surcharge avec des connexions qu'il ne peut pas gérer. Si le serveur est surchargé et que vous augmentez la taille de la file d'attente d'écoute, le serveur n'en sera que plus surchargé.

Le paramètre par défaut est de 128 (sous UNIX/Linux) ou 100 (sous Windows) connexions entrantes.

Délai d'attente de connexion persistante HTTP : spécifie le nombre de secondes attribuées par le serveur à une connexion client pour demeurer ouverte sans activité. Un client Web peut conserver une connexion au serveur ouverte afin que des requêtes multiples à un serveur puissent être gérées par une seule connexion réseau. Comme un serveur donné peut gérer uniquement un nombre fini de connexions ouvertes (limité par les threads actives), un nombre élevé de connexions ouvertes empêche la connexion de nouveaux clients. Le fait de définir le délai sur une valeur inférieure peut cependant empêcher le transfert de fichiers volumineux, car le délai ne prend pas en compte le temps où la connexion est demeurée inactive. Par exemple, si vous utilisez un modem 2 400 bauds, et que le délai d'attente des requêtes est fixé à 180 secondes, la taille de fichier maximale pouvant être transférée avant que la connexion soit fermée est de 43 2000 bits (2 400 multiplié par 180).

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Éditeur Magnus

La page Éditeur Magnus permet de modifier certains paramètres du fichier magnus.conf. Le fichier magnus.conf est stocké dans le répertoire server-id/config. Il définit un ensemble de paramètres de variables globales qui concernent le comportement et la configuration du serveur.

Pour plus d'informations, reportez-vous au manuel NSAPI Programmer’s Guide de SUN ONE Web Server 6.1 et à la rubrique Editing the magnus.conf File.

Les éléments suivants sont affichés :

Sélection d'un paramètre : dans la liste déroulante, choisissez un paramètre à modifier et cliquez sur le bouton Gérer.

Effectuez un choix parmi les options suivantes :

Page DNS Settings (Paramètres DNS)

La page Paramètres DNS permet d'activer ou de désactiver les directives du fichier magnus.conf qui concernent les recherches DNS.

Pour plus d'informations, reportez-vous au manuel NSAPI Programmer’s Guide de SUN ONE Web Server 6.1.

Les éléments suivants sont affichés :

AsyncDNS : spécifie si les DNS asynchrones sont autorisés. La directive DNS doit être définie sur Actif pour que cette directive prenne effet. La valeur est soit Actif soit Inactif.

DNS : la directive DNS spécifie si le serveur exécute des recherches DNS sur les clients accédant au serveur.

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Page SSL Settings (Paramètres SSL)

La page Paramètres SSL permet de modifier les valeurs des directives du fichier magnus.conf qui concernent les problèmes de sécurité et d'accès au serveur pour Sun ONE Web Server. Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique SSL and TLS Protocols.

Pour plus d'informations, reportez-vous au manuel NSAPI Programmer’s Guide de SUN ONE Web Server 6.1.

Entrez une valeur numérique dans le champ Valeur correspondant à la directive à modifier et cliquez sur OK pour enregistrer les modifications.

SSLCacheEntries : Nombre de sessions SSL pouvant être mises en cache. Il n'y a pas de limite supérieure. Si la valeur est de 0, la valeur par défaut, qui est de 10 000, est utilisée.

SSLSessionTimeout : nombre de secondes avant qu'une session SSL2 mise en mémoire cache ne soit plus valide. Par défaut, la valeur est de 100.

SSL3SessionTimeout : nombre de secondes avant qu'une session SSL3 mise en mémoire cache ne soit plus valide. Par défaut, la valeur est de 86 400 (24 heures).

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Page Paramètres de performance DNS

La page Paramètres de performance DNS permet de modifier les valeurs des directives du fichier magnus.conf qui concernent les threads, processus et connexions de votre serveur Web.

Entrez une valeur numérique dans le champ Valeur correspondant à la directive à modifier ou choisissez Actif/Inactif dans la liste déroulante. Cliquez sur OK pour enregistrer vos modifications.

StackSize : détermine la taille maximale de la pile pour chaque thread de traitement de requête.

Utilisateur : spécifie l'utilisateur sous l'identité duquel le serveur est exécuté.

PostThreadsEarly : utilisez cette directive lorsque le serveur doit gérer des requêtes prenant beaucoup de temps, comme celles qui établissent de longues connexions aux bases de données.

AcceptTimeout : spécifie le nombre de secondes attendues par le serveur pour que les données arrivent du client. Si les données n'arrivent pas avant l'expiration du délai, la connexion est interrompue.

ListenQ : nombre maximal de connexions en attente sur un socket d'écoute. Les connexions dépassant le délai sur un socket d'écoute dont la file d'attente de backlog est pleine échoueront.

NativePoolStackSize : détermine la taille de la pile de chaque thread du pool de threads natif (noyau).

ThreadIncrement : nombre de threads de traitement nouvelles ou additionnelles créées pour gérer une augmentation de la charge sur le serveur.

ChunkedRequestBufferSize : détermine la mémoire tampon par défaut pour défragmenter les données de requête.

NativePoolMinThreads : détermine le nombre minimal de threads du pool de threads natif (noyau).

RcvBufSize : spécifie la taille (en octets) de la mémoire tampon de réception utilisée par les sockets. Les valeurs admises sont déterminées par le système d'exploitation.

RqThrottleMin : spécifie le nombre de threads de traitement de requête créées lors du démarrage du serveur. La charge sur le serveur augmentant, des threads de traitement additionnelles sont créées (jusqu'à un maximum de threads RqThrottle).

HeaderBufferSize : taille (en octets) de la mémoire tampon utilisée par chacune des threads de traitement de requête pour lire les données de requête du client. Le nombre maximal de threads de traitement de requête est contrôlé par le paramètre RqThrottle.

TerminateTimeout : spécifie le délai d'attente du serveur pour que toutes les connexions existantes se ferment avant de s'arrêter.

RqThrottle : spécifie le nombre maximal de threads de traitement de requête que le serveur peut gérer simultanément par socket. Chaque requête exécute sa propre thread.

ChunkedRequestTimeout : la directive ChunkedRequestTimeout détermine le délai par défaut pour défragmenter les données de requête.

SndBufSize : spécifie la taille (en octets) de la mémoire tampon d'envoi utilisée par les sockets.

MaxRqHeaders : spécifie le nombre maximal de lignes d'en-tête d'une requête. Les valeurs vont de 0 à 32.

ConnQueueSize : spécifie le nombre de connexions en attente (encore à traiter) que le serveur Web peut accepter.

MaxProcs : spécifie le nombre maximal de processus que le serveur peut gérer simultanément.

KernelThreads : paramétrez KernelThreads sur ACTIF (ou une valeur de 1) pour garantir que le serveur utilise uniquement des threads au niveau du noyau et non au niveau utilisateur. Paramétrez KernelThreads sur INACTIF (ou une valeur de 0) pour garantir que le serveur utilise uniquement des threads au niveau utilisateur, ce qui peut améliorer les performances.

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Page CGI Settings (Paramètres CGI)

La page Paramètres CGI permet de modifier les valeurs des directives du fichier magnus.conf qui concernent les demandes de programmes CGI.

Entrez une valeur numérique dans le champ Valeur correspondant à la directive à modifier et cliquez sur OK pour enregistrer les modifications.

MinCGIStubs : contrôle le nombre de processus lancés par défaut. Notez que si vous avez une directive init-cgi dans le fichier magnus.conf , le nombre minimal de processus CGIStub est produit au démarrage. La valeur doit être inférieure à la valeur MaxCGIStubs.

CGIExpirationTimeout : spécifie le délai maximal en secondes d'exécution des processus CGI avant d'être détruits.

CGIStubIdleTimeout : oblige le serveur à détruire les processus CGIStub demeurés inactifs pendant le nombre de secondes défini par cette directive. Une fois le nombre de processus au niveau MinCGIStubs, le serveur arrête de détruire les processus.

MaxCGIStubs : contrôle le nombre maximal de processus CGIStub que le serveur peut produire. Il s'agit du nombre maximal de processus CGIStub simultanés en exécution, et non du nombre maximal de demandes en attente.

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Page Paramètres KeepAlive

La page Paramètres KeepAlive permet de modifier les valeurs des directives du fichier magnus.conf qui concernent les threads, processus et connexions de votre serveur Web.

Entrez une valeur numérique dans le champ Valeur correspondant à la directive à modifier ou choisissez Actif/Inactif dans la liste déroulante. Cliquez sur OK pour enregistrer vos modifications.

KeepAliveThreads : détermine le nombre de threads dans le sous-système KeepAlive. Il est recommandé que ce nombre soit un petit multiple du nombre de processeurs du système.

KeepAliveTimeout : détermine le délai maximal pendant lequel le serveur laisse ouverte une connexion KeepAlive HTTP ou une connexion persistante entre le client et le serveur.

MaxKeepAliveConnections : spécifie le nombre maximal de connexions KeepAlive et persistantes que le serveur peut maintenir ouvertes simultanément. Les valeurs vont de 0 à 32 768.

UseNativePoll : INACTIF (ou une valeur de 0) utilise une interface d'appel propre à la plate-forme. ACTIF (ou une valeur de 1) utilise l'interface d'appel NSPR du sous-système KeepAlive.

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Page Paramètres de consignation

La page Paramètres de consignation permet de modifier les directives qui concernent le journal des erreurs et le journal d'accès.

Les éléments suivants sont affichés :

LogFlushInterval : détermine l'intervalle de purge, en secondes, de la thread de purge du journal.

LogVerbose : Cette directive est ignorée dans Sun ONE Web Server 6.1 et remplacée par l'attribut loglevel dans server.xml.

LogVsId : Cette directive est ignorée dans Sun ONE Web Server 6.1 et remplacée par l'attribut logvsid dans server.xml.

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Page Paramètres de langue

Cette page permet de spécifier une langue par défaut pour le serveur.

Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Support for Internationalization and Localization.

Les éléments suivants sont affichés :

DefaultLanguage : Spécifie la langue par défaut pour le serveur.

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Ajout d'un socket d'écoute

Avant de traiter une requête, le serveur doit accepter celle-ci via un socket d'écoute, puis la transmettre au serveur virtuel approprié. Cette page permet d'ajouter un socket d'écoute.

Pour plus d'informations, consultez les sections Adding and Editing Listen Sockets et Creating a Listen Socket.

ID de socket d'écoute : nom interne du socket d'écoute. Il permet de définir le ou les sockets d'écoute associés à un serveur virtuel.

Adresse IP : adresse IP du socket d'écoute. Cette adresse peut se présenter sous la forme de paire en pointillé ou de notation IPv6. Elle peut également prendre la forme 0.0.0.0, any, ANY ou INADDR_ANY (toutes les adresses IP). La configuration d'un socket d'écoute SSL pour écouter sur 0.0.0.0 est nécessaire si plusieurs serveurs virtuels sont définis pour cette adresse.

Port : numéro du port sur lequel créer le socket d'écoute. Les valeurs admises sont 1 à 65 535. Sous UNIX, la création de sockets d'écoute sur les ports 1 à 1 024 nécessite des privilèges de super-utilisateur. Il est recommandé de configurer un socket d'écoute SSL pour écouter sur le port 443.

Nom du serveur : nom de serveur à mentionner dans la section du nom de l'hôte de toutes les URL envoyées au client. Ceci affecte les URL créées automatiquement par le serveur ; mais cela n'affecte pas les URL des répertoires et fichiers stockés sur le serveur. Ce nom doit être un nom d'alias si votre serveur utilise un alias.

Sécurité : active la sécurité pour le socket d'écoute créé. Les paramètres de sécurité peuvent être désactivés dans la Page Modification d'un socket d'écoute.

L'activation de SSL pour un socket d'écoute active le paramètre de sécurité dans le fichier magnus.conf. Pour plus d'informations, reportez-vous au manuel NSAPI Programmer’s Guide de SUN ONE Web Server 6.1.

ID de serveur virtuel par défaut : serveur virtuel par défaut de la connexion du socket d'écoute.

OK. enregistre vos modifications et ouvre la Page Modification des sockets d'écoute.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Modification d'un socket d'écoute

Avant de traiter une requête, le serveur doit accepter celle-ci via un socket d'écoute, puis la transmettre au serveur virtuel approprié. Cette page permet de modifier les paramètres de socket d'écoute.

Si vous accédez à cette page à partir du serveur d'administration, consultez la Page Modification des sockets d'écoute dans la section Serveur d'administration.

Pour plus d'informations, consultez les sections Editing Listen Socket Settings et Listen Sockets.

Les éléments suivants sont affichés :

Général
Sécurité

Si la sécurité est désactivée, seul le paramètre suivant est affiché dans cette section :

Si la sécurité est activée, les paramètres suivants sont affichés dans cette section :

Avancé

OK. enregistre vos modifications.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Types MIME

Les types MIME (Multi-purpose Internet Mail Extension) contrôlent les types de fichier multimédia que votre système de messagerie prend en charge. Les types MIME spécifient également les extensions qui appartiennent à certains types de fichier serveur, par exemple pour désigner les fichiers qui sont des programmes CGI.

Vous n'avez pas besoin de créer un fichier de types MIME séparé pour chaque serveur virtuel. À la place, vous créez autant de fichiers de types MIME que nécessaire et les associez à un serveur virtuel. Un fichier de types MIME, mime.types, existe par défaut sur le serveur.

Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Page Types MIME globaux.

Les éléments suivants sont affichés :

Ajouter. entrez un nouveau type MIME dans le champ Fichier MIME. Une fois que vous avez cliqué sur OK, le nouveau type MIME apparaît dans la liste déroulante des fichiers MIME.

Modifier. dans la liste déroulante des fichiers MIME, choisissez un type MIME à modifier. Une fois que vous avez cliqué sur OK, la page Types MIME globaux apparaît.

Supprimer : dans la liste déroulante des fichiers MIME, choisissez un type MIME à supprimer. Une fois que vous avez cliqué sur OK, le type MIME est retiré de la liste déroulante. Le dernier type MIME existant ne peut pas être supprimé. Ce fichier peut être le chemin absolu.

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Types MIME globaux

La page Types MIME globaux permet d'associer une extension de fichier à un type de fichier.

Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Page Types MIME.

Les éléments suivants sont affichés :

Nouveau type : ajoute un nouveau type MIME. Complétez les champs suivants :

Type de contenu : spécifie la nature du fichier. Par exemple, le fichier peut être de type texte, vidéo, etc. Le client récepteur (tel que Netscape Navigator) utilise la chaîne d'en-tête pour déterminer comment gérer le fichier (par exemple, en démarrant une application distincte ou en utilisant une application plug-in).

Suffixe de fichier : spécifie tous les suffixes de fichier qui seront associés au type de contenu. Pour spécifier plusieurs extensions, séparez les entrées avec une virgule. Les extensions de fichier doivent être uniques ; n'associez pas une extension de fichier à deux types MIME.

Modifier. permet de modifier la catégorie, le type de contenu ou le suffixe de fichier du type MIME.

Supprimer. supprime un type MIME.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Restriction de l'accès

La page Restriction de l'accès définit le contrôle d'accès des instances serveur. Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Setting Access Control for a Server Instance.

Les éléments suivants sont affichés :

Option : permet de choisir l'option Ajouter, Modifier ou Supprimer pour l'instance serveur spécifiée pour laquelle créer ou modifier la liste de contrôle d'accès. Après avoir choisi un serveur dans la liste déroulante, cliquez sur Créer une ACL ou Modifier une ACL.

Fichier ACL : permet d'effectuer les opérations suivantes :

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Gestion des listes de contrôle d'accès

La page Liste de contrôle d'accès permet de créer et de gérer des listes de contrôle d'accès (ACL). Les ACL permettent de déterminer les clients pouvant accéder au serveur. Les ACL permettent de filtrer les utilisateurs, groupes ou hôtes pour leur accorder ou refuser l'accès à certaines parties du serveur, et de configurer l'authentification de sorte que seuls les utilisateurs et groupes valides puissent accéder aux différentes parties du serveur.

Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Setting Access Control for a Server Instance.

Les éléments suivants sont affichés :

Sélection d'une ressource

Cette option permet d'afficher toutes les ressources de la racine de document du serveur utilisant les ACL pour restreindre l'accès. Une ACL peut être une URI (Uniform Resource Identifier). L'URI dans la liste des ACL peut être un répertoire, un nom de fichier ou l'alias d'une ressource, telle qu'un servlet ou un script CGI.

Modification : spécifie une ressource à gérer.

Parcourir : spécifie une partie du serveur.

Caractère générique : spécifie une suite de caractères génériques à modifier. Le chemin doit être un chemin absolu vers le fichier. Pour plus d'informations sur les suites de caractères génériques, consultez la section Wildcards Used in the Resource Picker.

Modifier le contrôle d'accès : modifie la liste de contrôle d'accès pour la ressource sélectionnée.

Sélection d'une ACL existante

Cette option spécifie une ACL dans la liste de toutes les ACL activées pour le serveur. Même si une ACL existe, elle n'apparaît pas dans cette liste si elle n'est pas activée.

Modification : spécifie une ressource à gérer.

Modifier le contrôle d'accès : modifie la liste de contrôle d'accès sélectionnée.


Remarque

Ne supprimez pas toutes les règles ACL des fichiers ACL. Au moins un fichier ACL contenant une règle ACL est requis pour démarrer le serveur. Si vous supprimez toutes les règles ACL dans les fichiers ACL et tentez de redémarrer le serveur, vous recevez un message d'erreur de syntaxe.


Saisie du nom de l'ACL

Crée une ACL. Utilisez cette option uniquement si vous êtes familiarisé avec les fichiers ACL et le fichier de configuration obj.conf. Vous devez modifier manuellement le fichier obj.conf si vous voulez appliquer les ACL nommées à des ressources.

Modification : spécifie une ressource à gérer.

Modifier le contrôle d'accès : modifie la liste de contrôle d'accès sélectionnée.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Modification du contrôle d'accès

La page Modification du contrôle d'accès est divisée en deux cadres qui définissent les règles de contrôle d'accès. Si la ressource que vous avez choisie dispose déjà d'un contrôle d'accès, les règles apparaissent dans le cadre supérieur.

Cadre supérieur

Le cadre supérieur affiche les règles de contrôle d'accès représentant chaque paramètre configurable sous forme de lien. Lorsque vous cliquez sur un lien, la page se divise en deux cadres et vous pouvez utiliser le Cadre inférieur pour définir les règles de contrôle d'accès. Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Setting the Action.

Les éléments suivants sont affichés dans le cadre supérieur :

Action

Indique si l'accès aux utilisateurs, groupes ou hôtes doit être refusé ou autorisé.

Utilisateurs/groupes

Permet de spécifier l'authentification des groupes et des utilisateurs lorsque vous cliquez sur « Toutes les personnes ». Le cadre inférieur permet de configurer l'authentification Utilisateurs-Groupes. Par défaut, aucun utilisateur ou groupe (à l'exception du groupe admin) ne peut accéder aux ressources du serveur d'administration. Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Specifying Users and Groups.

Depuis l'hôte

Permet de spécifier les ordinateurs à inclure dans la règle lorsque vous cliquez sur Tous les emplacements. Dans le cadre inférieur, vous pouvez entrer des suites de caractères génériques de noms d'hôte ou d'adresses IP à autoriser ou à refuser. Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Specifying the From Host.

Droits

Permet de spécifier les droits d'accès aux fichiers et répertoires de votre site Web. En plus d'autoriser ou de refuser tous les droits d'accès, vous pouvez spécifier une règle autorisant ou refusant des droits d'accès partiel. Par exemple, vous pouvez accorder un droit d'accès en lecture seule pour vos fichiers, de manière à ce que les utilisateurs puissent afficher les informations sans modifier les fichiers. Cela est particulièrement utile lorsque vous utilisez la fonctionnalité de publication Web pour publier des documents. Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Setting Access Rights.

Extra

Permet de spécifier une entrée ACL personnalisée. Cela est utile si vous utilisez l'API de contrôle d'accès pour personnaliser des ACL. Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Writing Customized Expressions.

Continuer

Indique que la ligne suivante de la chaîne de règle de contrôle d'accès est évaluée avant que le serveur ne détermine si l'utilisateur a un droit d'accès. Lors de la création de lignes multiples dans une entrée de contrôle d'accès, il est préférable de travailler à partir des restrictions les plus générales vers les restrictions les plus spécifiques.

Icône Corbeille

Supprime la ligne correspondante des règles de contrôle d'accès.

Contrôle d'accès actif

Indique si le contrôle d'accès est activé.

Nouvelle ligne

Ajoute une règle ACL par défaut à la dernière rangée du tableau.

Pour permuter une restriction de contrôle d'accès avec la restriction qui la précède, cliquez sur la flèche vers le haut. Pour permuter une restriction de contrôle d'accès avec la restriction qui la suit, cliquez sur la flèche vers le bas.

Réponse en cas de refus

Indique la réponse qui est affichée lorsque l'accès est refusé à un utilisateur. Vous pouvez créer un message différent pour chaque objet de contrôle d'accès. Par défaut, l'utilisateur reçoit le message suivant : INTERDIT. Votre client ne peut pas accéder à l'objet restreint Responding When Access is Denied.

Soumettre : enregistre vos entrées.

Enlever : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Cadre inférieur

Le cadre inférieur permet de configurer les règles de contrôle d'accès de l'ACL dans le Cadre supérieur.

Les éléments suivants sont affichés dans le cadre inférieur :

Autoriser/Refuser

Autoriser : autorise l'accès de l'utilisateur, du groupe ou de l'hôte.

Refuser : refuse l'accès de l'utilisateur, du groupe ou de l'hôte.

Mettre à jour : enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Utilisateur/Groupe

Pour plus d'informations, consultez la section Specifying Users and Groups.

Toutes les personnes (aucune authentification) : permet à quiconque d'accéder à la ressource. Aucune authentification n'est requise.

Personnes authentifiées uniquement : permet uniquement aux groupes et utilisateurs authentifiés d'accéder à la ressource. Effectuez un choix parmi les options suivantes :

Demande d'authentification : permet de spécifier le texte du message affiché dans la boîte de dialogue d'authentification. Vous pouvez utiliser ce texte pour décrire ce que l'utilisateur doit saisir. Selon le système d'exploitation, l'utilisateur voit environ les 40 premiers caractères de la demande. Netscape Navigator et Netscape Communicator masquent les nom d'utilisateur et mot de passe, et les associent au texte de la demande. En d'autres termes, si l'utilisateur accède à des zones (répertoires et fichiers) du serveur obéissant à la même demande, il n'a pas besoin de saisir à nouveaux ces données. Inversement, si vous souhaitez forcer les utilisateurs à s'authentifier à nouveau pour diverses zones, vous devez modifier la demande pour l'ACL de la ressource en question.

Méthodes d'authentification : spécifie les méthodes utilisées par le serveur lors de la réception d'informations d'authentification de la part d'un client.

Base de données d'authentification : permet de sélectionner la base de données que le serveur utilise pour authentifier les utilisateurs. Par défaut, le serveur recherche les utilisateurs et les groupes dans un annuaire LDAP. Cependant, vous pouvez configurer des ACL individuelles pour utiliser différentes bases de données. Vous pouvez indiquer des bases de données et des annuaires LDAP différents dans le fichier server_root/userdb/dbswitch.conf. Ensuite, vous pouvez choisir la base de données à utiliser dans l'ACL en la sélectionnant dans la liste déroulante. Si vous vous servez de l'API de contrôle d'accès pour utiliser une base de données personnalisée (par exemple, une base de données Oracle ou Informix), vous pouvez saisir le nom de cette base de données dans le champ Autre de la fenêtre Utilisateur/Groupe.

Mettre à jour : enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Depuis l'hôte

Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Specifying the From Host.

Tous les emplacements : autorise toutes les machines à accéder à la ressource.

Uniquement depuis : permet uniquement aux noms d'hôte et aux adresses IP spécifiés d'accéder à la ressource. Vous spécifiez cette restriction en utilisant une suite de caractères génériques correspondant aux noms d'hôte ou aux adresses IP des machines. Par exemple, pour autoriser ou refuser tous les ordinateurs dans un domaine spécifique, vous pouvez saisir une suite de caractères génériques qui correspond à tous les hôtes de ce domaine, comme *.sun.com.

Mettre à jour : enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Droits

Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Setting Access Rights.

Tous les droits d'accès : affecte tous les droits d'accès à l'utilisateur, au groupe ou à l'hôte (lecture, écriture, exécution, suppression, liste et info).

Uniquement les droits suivants : affecte uniquement les droits d'accès sélectionnés à l'utilisateur, au groupe ou à l'hôte. Effectuez un choix parmi les options suivantes :

Mettre à jour : enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Expressions personnalisées

Expressions personnalisées : permet de saisir dans la zone de texte des expressions personnalisées pour une ACL. Vous pouvez utiliser cette fonctionnalité si vous êtes familiarisé avec la syntaxe et la structure des fichiers ACL. Pour plus d'informations sur les expressions personnalisées, consultez les sections Writing Customized Expressions et ACL File Syntax.

Mettre à jour : enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Réponse en cas de refus d'accès

Réponse avec le fichier par défaut (redirection désactivée) : le message suivant est envoyé : INTERDIT. Votre client ne peut pas accéder à l'objet restreint.

Réponse avec l'URL suivante (redirection activée) : lorsqu'elle est sélectionnée, cette option permet de créer un message différent pour chaque ACL. Entrez le chemin absolu d'une URL ou une URI relative.

Mettre à jour : enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Restauration de la configuration

La page Restauration de la configuration permet d'afficher une copie de sauvegarde de vos fichiers de configuration et de rétablir les données de configuration enregistrées à une date donnée.


Remarque

Sous Windows, utilisez cette page uniquement pour annuler les modifications apportées aux fichiers de configuration. N'effectuez pas d'annulation pour récupérer des versions créées au cours de l'installation ; elles ne seront peut-être pas complètes.


Les éléments suivants sont affichés :

Définir le nombre d'ensembles de sauvegardes : définit le nombre d'ensembles de sauvegardes.

Modifier : permet d'extraire les versions précédentes des sauvegardes.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Dans le tableau suivant, cliquez sur Restaurer pour rétablir la version enregistrée à la date donnée, ou cliquez sur Afficher pour prévisualiser les paramètres avant de les rétablir. Cliquez sur un bouton de date pour restaurer tous les fichiers de travail tels qu'ils étaient à la date sélectionnée. Vous pouvez restaurer les fichiers de configuration suivants :

magnus.conf : contient les paramètres globaux que le serveur utilise pour l'initialisation.

server.xml : configure les adresses et ports d'écoute du serveur, et affecte les classes de serveurs virtuels et les serveurs virtuels à ces sockets d'écoute. Un fichier maître, server.dtd, définit son format et son contenu.

obj.conf : définit les étapes spécifiques que le serveur suit pour traiter les instructions. Dans ce fichier, vous pouvez spécifier des conversions de chemin, et définir le mode de gestion d'éléments tels que les programmes CGI et les servlets.

https-server-name.acl : contient les paramètres de contrôle d'accès de l'instance serveur.

mime.types : spécifie le chemin d'accès au fichier contenant le mappage des types MIME renvoyés par le serveur.

keyfile : stocke la liste des utilisateurs pour un domaine fichier simple et est vide par défaut.


Page Activation/Désactivation WebDAV

La page Activation/Désactivation WebDAV permet d'activer ou de désactiver WebDAV de manière globale au niveau de l'instance serveur. Vous pouvez activer WebDAV au niveau de l'instance serveur ou au niveau du serveur virtuel. Pour plus d'informations, reportez-vous à la rubrique Onglet WebDAV.

Pour plus d'informations sur la configuration de WebDAV sur le serveur, consultez la section Web Publishing with WebDAV.

Les éléments suivants sont affichés :

Activer WebDAV globalement : active la fonctionnalité WebDAV pour l'ensemble de l'instance serveur.

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Configuration de la mémoire cache de fichier

Utilisez cette page pour modifier les paramètres de votre mémoire cache de fichier. La mémoire cache de fichier est activée par défaut.

Activer la mémoire cache de fichier : cochez cette case pour activer la fonctionnalité de mémoire cache de fichier.

Transmettre le fichier : cochez cette case pour que le serveur mette en mémoire cache les descripteurs des fichiers ouverts dans la mémoire cache de fichier, plutôt que leur contenu.

Taille de la table de hachage : entrez une taille. La taille par défaut est deux fois le nombre maximal de fichiers plus 1. Par exemple, si le nombre maximal de fichiers est défini sur 1 024, la taille de la table de hachage est de 2 049.

Âge maximal : entrez l'âge maximal (en secondes) pour une entrée de mémoire cache valide. Ce paramètre contrôle le délai pendant lequel les informations mises en mémoire cache continuent à être utilisées une fois qu'un fichier a été mis en mémoire cache. Définissez l'âge maximal selon que le contenu (fichiers existants modifiés) est mis à jour d'après un programme régulier ou non.

Nb maximal de fichiers : entrez un nombre.

Limite de taille de fichier moyen : entrez une taille. Le contenu des fichiers moyens est mis en mémoire cache par le mappage des fichiers dans la mémoire virtuelle (uniquement sur les plates-formes UNIX/Linux).

Limite de taille de petit fichier : entrez une taille. Le contenu des petits fichiers est mis en mémoire cache par l'attribution de l'espace heap et la lecture du fichier dans cet espace.

Espace de fichier moyen : entrez un nombre. L'espace de fichier moyen représente la taille (en octets) de la mémoire virtuelle utilisée pour mapper tous les fichiers de taille moyenne. Par défaut, cette valeur est égale à 10 000 000 (10 Mo).

Espace de petit fichier : entrez un nombre. L'espace de petit fichier représente la taille d'espace heap (en octets) utilisé pour la mémoire cache, incluant l'espace heap utilisé pour mettre en mémoire cache les petits fichiers. Par défaut, cette valeur est égale à 1 Mo sous UNIX/Linux et 0 sous Windows. Indiquez la valeur de votre choix.

Répertoire temporaire (Windows uniquement) : Entrez le répertoire temporaire dans lequel les fichiers sont copiés.

OK. enregistre vos entrées.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Pool de threads natif (NT)

La page Pool de threads natif permet de configurer votre pool de threads natif (NativePool). Par défaut, le serveur dispose d'au moins un pool de threads, le pool de threads natif. Ce pool de threads constitue le pool de threads par défaut des plug-ins externes, sauf indication contraire. Il utilise des fibres (threads planifiées par l'utilisateur) pour le traitement des requêtes internes.

Nombre minimal de threads : détermine le nombre minimal de threads du pool de threads natif. Si vous ne spécifiez rien, sa valeur par défaut est de 1.

Nombre maximal de threads : détermine le nombre maximal de threads du pool de threads natif. Si vous ne spécifiez rien, sa valeur par défaut est de 128. Si vous spécifiez 1, vous émulez un comportement mono-thread.

Taille de la file d'attente : détermine le nombre de threads susceptibles de se trouver dans la file d'attente du pool de threads. Si toutes les threads du pool sont occupées, la thread de gestion de requête suivante tentant d'entrer dans la file d'attente est rejetée. Le résultat est qu'elle retourne une réponse « occupé » au client. Elle est alors libre de gérer une autre requête entrante au lieu d'être bloquée dans la file d'attente. Si vous ne spécifiez rien, sa taille par défaut est illimitée.

Taille de la pile (en octets) : détermine la taille de la pile de chaque thread du pool de threads natif. La valeur minimale que vous pouvez saisir est 65 536. 0 spécifie la taille de la pile par défaut du système d'exploitation.

OK. enregistre vos entrées. Vous devez cliquer sur Enregistrer et appliquer pour que vos modifications prennent effet.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.


Page Pools de threads génériques

La page Pools de threads permet d'ajouter des pools de threads au pool de threads natif. Utilisez ces pools pour divers objectifs comme la limitation d'un certain service à un nombre spécifique de threads simultanées. Pour changer les paramètres d'un pool de threads que vous avez ajouté, modifiez le fichier magnus.conf.

Outre la possibilité d'ajouter des pools de threads génériques, vous pouvez, sous Windows, ajouter des threads de pools natifs.

Nom du pool : spécifie le pool de threads que vous ajoutez.

Nombre minimal de threads : détermine le nombre minimal de threads dans le pool.

Nombre maximal de threads : détermine le nombre maximal de threads dans le pool. Si vous spécifiez 1, vous émulez un comportement mono-thread.

Taille de la file d'attente : détermine le nombre de threads susceptibles de se trouver dans la file d'attente du pool de threads. Si toutes les threads du pool sont occupées, la thread de gestion de requête suivante tentant d'entrer dans la file d'attente est rejetée. Le résultat est qu'elle retourne une réponse « occupé » au client. Elle est alors libre de gérer une autre requête entrante au lieu d'être bloquée dans la file d'attente.

Taille de la pile (en octets) : détermine la taille de la pile de chaque thread du pool. La valeur minimale que vous pouvez saisir est 65 536. 0 spécifie la taille de la pile par défaut du système d'exploitation.

OK. enregistre vos entrées. Vous devez cliquer sur Enregistrer et appliquer pour que vos modifications prennent effet.

Réinitialiser : efface vos modifications et rétablit les valeurs initiales des éléments de la page.

Aide : affiche l'aide en ligne.

Pools de threads actifs : répertorie les pools de threads actifs. Pour modifier un pool de threads, cliquez sur Modifier dans la rangée du pool de threads. Pour supprimer un pool de threads, cliquez sur Supprimer dans la rangée du pool de threads.



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